#Boostyourpositivity! Inner & Self

Bonjour à tous,

Vous êtes peut-être au courant de l'action #boostyourpositivity menée par Activia et honorablement représentée par deux blogueuses que j'aime beaucoup Alice et Emilie. Le thème de cette semaine est "inner & self"... que j'interprète comme l'équilibre intérieur. D'autre blogueuses ont d'ailleurs partagé leurs "trucs" pour atteindre cet équilibre sacré, ici, ici et ici notamment.

J’ai un peu hésité à écrire ce billet, car, je dois vraiment l’avouer, je ne suis pas très bonne élève dernièrement en matière de « positive attitude » ! Je suis un vrai baromètre des émotions ambiantes et je dois dire que pour le moment le moral général n’est pas vraiment au beau fixe. Dans ces moments-là, j’ai tendance à me replier un peu sur moi-même et à me lancer dans des réflexions théoriques sur le sens de la vie et sur le bonheur, sur fond de chansons de Mano Solo et de Barbara. Vous voyez le genre… (~~JOIE ! PEPS ! SOLEIL !~~)

Mais justement, c’est précisément pour être pragmatique et éviter de m’engluer dans une mélancolie pathétique que j’ai décidé de partager avec vous mes pistes pour arrêter de broyer du noir.

Mort au conflits

Tout d’abord, le pire ennemi au bonheur (à mes yeux en tout cas), ce sont les conflits ! Les conflits nous minent, usent notre énergie, nous rendent vilains et révèlent, s’ils persistent, ce qu’il y a de plus obscur en nous. Il n’est pas possible d’être toujours sur la même longueur d’ondes que son conjoint, ses collègues ou ses parents/enfants, mais voici quelques-uns de mes trucs (à appliquer dès ce soir : note to self) :

mettre son orgueil de côté et reconnaître ses erreurs ;

dire à la personne avec laquelle on est en conflit ce qu’elle représente pour nous (un ami fidèle, un collègue sur lequel on aime compter, votre alter ego, etc.)

reconnaître votre « langage de l’amour » et celui de l’autre personne. Et oui ! Tout le monde n’exprime pas son amour de la même manière… Ne pas s’en rendre compte signifie souvent passer à côté de témoignages d’affection ou manquer sa cible ;

prendre le temps.

Le temps…

Le temps, justement, il faut le prendre là où il est. Evidemment, on rêve de soirées sans lendemains, où l’on pourrait être lascifs et indolents… On rêve aussi de périodes, au soleil, loin de tout (et surtout loin d’obligations)… mais si l’on devait attendre cela pour être heureux, on serait heureux quelques jours par an… Non ! Le temps, il est là et c’est à nous de transformer un trajet en bus en promenade privilégiée avec son enfant. C’est à nous de transformer une pause de midi sandwich au thon et séance facebook en un lunch entre copines ou en tête à tête avec son amoureux.

Se faire aider (au sens large)…

On n’est pas obligé de faire tout tout seul !

J’ai une aide-ménagère qui vient tous les quinze jours. Quel bonheur ! Quelle joie de rentrer le soir et de voir que la maison est toute pimpante ! Evidement c’est un petit luxe. Mais je préfère cette aide à de nouvelles chaussures. Sans compter que ça crée un peu d’emploi (ailleurs qu’en Chine). Je dis souvent que si j’avais une petite augmentation, ce serait la dépense que j’augmenterais en premier. Je dis aussi souvent que quelques titres services est le cadeau le plus utile que l’on peut offrir à des jeunes parents (en plus du tiercé gagnant : machine à laver, séchoir, centrale de repassage). En tout cas, c’est plus utile que beaucoup de choses vendues dans les magasins de puériculture.

S’occuper de ses enfants tout un WE à la maison c’est parfois compliqué. A nouveau ! Joignons l’utile à l’agréable et organisons des « play-dates » aves les enfants des copains. Ça permet de voir régulièrement ses copines, de papoter, d’échanger… et les enfants s’occupent tous seuls !

Crédit : On ne présente plus les fabuleux Calvin et Hobbes de Bill Waterson.